La semaine de la dégling'
Ou comment passer une semaine pourrie et ne pas être fichue de bloguer un seul truc rigolo ou intéressant.
Déglinguée, comme la météo, 2 tempêtes en 3 jours. Un vent de voleur, un temps à pas mettre un pied dehors, sauf y’avait école… Gloups
Déglinguée, comme la portière de ma voiture, que je n’ai pas réussi à retenir en descendant, un soir de la tempête n°1. Plaf, la portière a fait une rotation à 180°, la carrosserie n’a pas apprécié… Surtout que la voiture n’avait pas 8 jours. Re-gloups
Déglingué, comme mon sommeil. Même pas rongée par la culpabilité (c’est pas moi, c’est le vent !) ni dérangée par le sifflement du vent, non des insomnies pures et dures, des shoppings nocturnes dignes des meilleures promos.
Déglingué, comme mon nez... Sinusite is back, de quoi faire mentir effrontément l’item 5 du dernier questionnaire. Mon odorat s’est surement envolé avec la tempête… Et pour « couronner » le tout j’ai un bouton, dans le genre bouton qui vient de nulle part mais qui surgit toujours quand y faut pas. Celui qu’on essaie tant bien que mal de camucher avec de la poudre ou du fond de teint… Et bien cette fois ci, il s’est installé sur le bout de mon déglingué de nez, cet enfoiré. C’est d’un raffiné, je vous dis pas.
Bon, histoire de s'amuser un peu, qui saura me trouver quel mot ch'ti j'ai glissé dans ce billet ??? Merci aux gens du coin de laisser jouer d'abord les touristes ;-)